Deux dimensions connaissent ce mois-ci la plus forte augmentation : la conciliation des vies professionnelle et personnelle et la perception de l’utilité de son travail.
82% des salariés sont d’accord avec l’idée que les lieux de travail sont des endroits où il est possible d’être heureux, dont 43% répondent “oui, tout à fait”.
Quand on les interroge sur leur situation individuelle sur leur lieu de travail, 20% disent y être très heureux, 31% estiment y être un peu heureux. Parallèlement, 31% pensent n’y être ni heureux, ni malheureux.
Selon les personnes interrogées, parmi les leviers proposés et susceptibles de rendre les salariés heureux au travail, on trouve d’abord l’utilité perçue de son travail (50% en cumulé) et la rémunération (50% en cumulé).
Cependant, pour 67 % d’entre eux, il n’existe pas de dispositifs spécifiques mis en place sur leurs lieux de travail susceptibles d’améliorer le bonheur au travail.
Alors, heureux au boulot ?
Cette période estivale, après d’importantes échéances politiques et avant les grands rendez-vous sociaux de la rentrée, était l’occasion de parler du bonheur au travail. 51 % d’entre eux considèrent qu’ils y sont heureux ou très heureux.
L’indice UNSA du moral des salariés est, en août, à son plus haut niveau depuis sa création : 5,8/10.