La crise du pouvoir d’achat, notamment avec l’envolée des prix de l’alimentaire et des biens de consommation courante, ne sera résolue que par des hausses significatives de salaires dans les secteurs privé comme public.
Une meilleure répartition des richesses doit en être le moyen. Une fiscalité plus exigeante pour les plus hauts revenus permettrait également d’avancer vers plus de justice sociale et plus de solidarité en direction des plus fragiles et des plus précaires.