Concernant le ferroviaire, l’UNSA réaffirme son opposition à l’ouverture à la concurrence qui aujourd’hui n’est en aucun cas, ni économiquement ni légalement une obligation. Aucune évaluation objective n’est d’ailleurs de nature à légitimer cette ouverture.
Pourtant le Président Rousset se déploie déjà dans la presse pour garantir « que l’ouverture à la concurrence signifiera un meilleur service pour les usagers. »
Mais pourquoi court-circuiter le CESER Nouvelle-Aquitaine, se passer de son avis et donc éviter les débats avant d’afficher ce soutien au privé ? Nous pensons, à l’UNSA, qu’il serait plus que souhaitable d’associer à tout projet relatif à ces choix de politiques publiques les diverses composantes sociales concernées.